Par Éliane Losier
Le premier tome de la trilogie Les Mondes d’Ewilan de Pierre Bottero a été un plaisir à lire et un mélange d’émotions en continu. J’ai découvert la série par l’adaptation en bande-dessinée de la première saison: La Quête d’Ewilan. Mais puisque les romans renferment toujours plus de détails, je me suis tournée vers ceux-ci (quoique je les lis sous les deux formes, donc bon). L’histoire est un mélange de fantastique et de fantaisie et fait partie de la liste de Lectomania de secondaire 4. Avec ses 375 pages, c’est un roman parfait pour un petit rat de bibliothèque, comme moi.
Les thèmes les plus adéquats seraient, sans aucun doute, la captivité et l’amour. Pourquoi? Parce qu’Ewilan, premier personnage principal, se fait kidnapper et est retenue captive par une ancienne ennemie qui la haït. Salim, deuxième personnage principal, essayera de toutes ses forces de la sauver et fera partie intégrante de sa remise en forme après l’avoir libérée de son cauchemar. Tous ces efforts seulement par amour pour sa belle. Et c’est cet amour qui la maintiendra debout tout au long de la trilogie.
Je suis littéralement tombée en amour avec les personnages des romans de Pierre Bottero. Je pouvais ressentir leurs peines, vivre leurs joies comme si elles étaient mienne. À mes yeux, ils étaient réels le temps de cette lecture. Si on m’avait dit que les personnages présents dans cette histoire avaient été inspirés de personnes existantes, j’y aurai cru. Ils étaient si bien décrits, leurs traits de personnalité leur étaient uniques, comme avec de vraies personnes. L’écrivain a fait en sorte que chaque membre du petit groupe d’aventuriers ait une place complémentaire et irremplaçable dans l’histoire, à un tel point que, lorsque l’un d’eux perdaient la vie, j’en pleurais…
